L’approche de Céleste est libre et évolutive : elle explore différents styles graphiques pour façonner des compositions qui s’adaptent à chaque projet et à son contexte.
Ses projets s’ancrent dans des thématiques qui lui tiennent à cœur : les inégalités sociales, les droits des femmes et des personnes LGBTQ+. Elle utilise la fresque comme un moyen d’expression engagé, capable de transformer un lieu, de le faire respirer autrement, d’y injecter de la signalétique, de l’humour, de la pédagogie ou encore un message militant.
Chaque projet est une collaboration, une réflexion partagée sur la meilleure manière d’investir l’espace public tout en respectant celles et ceux qui l’habitent.
Dans cette dynamique, elle privilégie souvent la co-création, en initiant des ateliers avec différents publics. Ces échanges nourrissent sa recherche et permettent d’imaginer ensemble une fresque qui fait sens, qui dialogue avec son environnement et qui raconte une histoire collective.
Son mur pour le festival 2025
« Je suis partie sur l’idée d’une carte postale de Marseille : j’ai représenté une vue de la Côte bleue, où j’aime aller me baigner. J’ai fait une ligne d’horizon à hauteur d’yeux et un personnage à taille humaine pour que l’on puisse s’y retrouver, faire partie du paysage.
Je voulais créer quelque chose de serein, tranquille et doux, avec un rouge qui souligne la chaleur et le côté flamboyant du soleil. »
