Transformation murale

STOM500

2023

Stom500 est un véritable « couteau suisse ». Spray, pinceaux, acrylique… Grandes fresques murales ou petites toiles : il utilise des médiums et des styles aussi divers avec une prédilection pour le thème Animal qui, sous le vernis de l’amusement, portent un message humaniste ou écologique.
« Telles des fables modernes, ma création transporte le spectateur dans un univers délirant et humoristique nourri de l’énergie euphorique des dessins animés. »

"Les Gentlemen Drivers"

« En hommage aux passionnés amateurs qui seront aussi sur la ligne de départ de la course.

J’ai choisi de faire de l’animal le sujet principal de ma démarche artistique. Cet engagement personnel nécessite une observation profonde et sensible afin de saisir la justesse des formes et des postures et faire en sorte de déceler « l’âme animale ». L’optimisme, le dynamisme, la lumière sont aussi au cœur de mon approche, une manière pour moi de mettre en avant le vivant et d’offrir aux spectateurs une parenthèse, haute en couleurs.

En dessinant des animaux, il s’agit pour moi de questionner la société sur son action pour la planète et sur les habitats naturels. Si par mes représentations joyeuses et enthousiastes du monde animal, chacun peut revoir sa position quant à la protection de notre biodiversité et à réfléchir, par contemplation, à ce qu’il peut y avoir de mieux pour les plantes et les animaux, j’en serais heureux.

J’ai décidé, pour cette fresque du centenaire, de mettre en avant l’idée d’une course solidaire où les plus lents (symbolisés ici par le koala) seraient aussi soutenus par les plus vifs (symbolisés ici par le guépard). Le guépard symbolise la vitesse, la capacité à se glisser furtivement dans l’environnement et la force. Le koala, appuyé d’oiseaux challengers, dirige pourtant la course avec calme et contrôle.

Il y a beaucoup de clins d’œil aussi dans cette fresque qui fête les 100 ans : le casque hibou en hommage à la première affiche de 1923, le numéro du premier gagnant de la course « Chenard et Walcker » que je vous laisse redécouvrir, etc.

Réponse de l’artiste à un journaliste :

Ce que je pense de la course, ce qu’elle m’inspire : 

« C’est une course imprévisible, captivante, grisante même. Le scénario des 24 Heures du Mans n’est jamais le même. Cette course mythique force au respect. Il faut de l’endurance physique et mentale, de jour comme de nuit, sous la pluie comme sous une chaleur écrasante et beaucoup de courage pour tenter une victoire. Mais pour moi, c’est l’esprit d’équipe qui me parle au Mans, c’est grâce à la cohésion et à l’harmonie entre les pilotes, les ingénieurs, les mécaniciens, etc, qu’on peut dépasser la pression pour gagner. C’est enfin son côté populaire qui m’enthousiasme, cette passion collective autour des sports mécaniques de légende. Bonne chance à tous ! » 

D’où je puise mon inspiration : 

« J’ai choisi de faire de l’animal le sujet principal de ma démarche artistique. Cet engagement personnel nécessite une observation profonde et sensible afin de saisir la justesse des formes et des postures et faire en sorte de déceler « l’âme
animale ». L’optimisme, le dynamisme, la lumière sont aussi au cœur de mon approche, une manière pour moi de mettre en avant le vivant et d’offrir aux spectateurs une parenthèse, haute en couleurs. J’ai décidé, pour cette fresque du centenaire, de mettre en avant l’idée d’une course solidaire où les plus lents (symbolisés ici par le koala) seraient aussi soutenus par les plus vifs (symbolisés ici par le guépard). Le guépard symbolise la vitesse, la capacité à se glisser furtivement dans l’environnement et la force. Le koala, appuyé d’oiseaux challengers, dirige pourtant la course avec calme et contrôle. Il y a beaucoup de clins d’œil aussi dans cette fresque qui fête les 100 ans : le casque hibou en hommage à la première affiche de 1923, le numéro du premier gagnant de la course « Chenard et Walcker » que je vous laisse redécouvrir, etc. Je suis aussi content de pouvoir peindre cette fresque colorée et positive sur le mur de l’école primaire Jean Mermoz et de donner le sourire aux élèves qui y passeront devant chaque jour. » 

Dans le cadre du Centenaire 24h et du budget participatif.

Ecole maternelle Jean-Mermoz, Place Raymond Adelet

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